Révélée par une enquête de Jeune Afrique publiée le 24 juin, elle diffusait des images d’exactions commises en Afrique par des mercenaires russes de Wagner qui envoyaient eux-mêmes les contenus. Cette fermeture intervient au lendemain de la publication par Jeune Afrique de l’enquête dévoilant l’existence de cette « chambre rouge » numérique, dans laquelle ont été partagées 322 vidéos et 647 photographies documentant des actes de torture, de mutilation, d’exécutions extrajudiciaires et de profanations de cadavres. Le canal n’était accessible que sur invitation, et réservé à une communauté de vétérans de Wagner, de mercenaires actifs et de sympathisants néonazis.
Author: Mathieu Olivier
Published at: 2025-06-25 10:20:03
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