Mais hormis le fait qu'ils partagent John G. Avildsen à la mise en scène, Rocky et Karaté Kid (dont le premier opus et ses suites débarquent dès aujourd'hui sur Netflix) ont bel et bien en commun ce substrat au cœur même de l'ADN américain : chez l'oncle Sam, la conquête des rêves est à la portée de tous, même des plus mal lotis par la vie. Dégainé par son distributeur Columbia Pictures en queue de saison estivale (derrière les mastodontes SOS Fantômes, Indiana Jones et le temple maudit, Gremlins et juste avant la suite de Conan le barbare), ce récit de passage à l'âge adulte va finir en 10e position du box-office de l'année, avec un total de 90 millions de dollars de recettes nationales – 130 millions en incluant le reste du monde. À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre On le retrouvera, le 13 août, à l'affiche de Karate Kid : Legends, sympathique suite de la franchise, toujours dans le rôle de Daniel LaRusso, devenu à son tour un vieux maître de karaté zen, perpétuant le souvenir de son sensei disparu.
Author: Philippe Guedj
Published at: 2025-06-01 08:08:00
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