Le tribunal militaire congolais a accusé l'ancien président Joseph Kabila de trahison, de corruption, de crimes de guerre et de soutien au groupe rebelle du Mouvement du 23 mars (M23). Au cours du procès qui a débuté en juillet 2025, des arguments ont été avancés en faveur de la peine de mort contre Kabila, qui a été au pouvoir de 2001 à 2019. De plus, malgré la limitation imposée par la Constitution de la RDC, Kabila a prolongé son mandat présidentiel — restant en fonction au-delà de ses deux mandats de cinq ans — grâce à une décision de la Cour constitutionnelle justifiée par le principe de continuité de l’État, dans l’attente de la tenue des élections prévues.
Author: Jonathan Beloff, Postdoctoral Research Associate, King's College London
Published at: 2025-09-09 13:53:26
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