Dans le service d’orthopédie du docteur Ruslan Litvinienko, dans la banlieue de Kiev, il suffit d’ouvrir la porte d’une chambre et les récits du front vous sautent à la gorge. Car c’est une chose que de parler de mines, de tirs d’artillerie et de drones, une autre que de voir ce que ça fait à un corps. Il y a quelques mois, l’une des chambres était gardée par les forces de l’ordre : un prisonnier de guerre russe était soigné pour une blessure.
Author: Doan Bui
Published at: 2025-06-23 17:30:05
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