Car en l'espace de trois jours sur le territoire belge, Souleymane B. s'est retrouvé impliqué dans les tirs à l'arme de guerre qui ont frôlé l'estomac d'un tiers, rue du Lavoir à Bruxelles dans la nuit du 5 au 6 novembre. Rachid B. s'occupait de la vente directe, tandis que Souleymane était en charge de la "R", "la recharge", soit le réapprovisionnement en boulettes de coke et le transfert de l'argent vers leurs "responsables". Les deux parcours sont aussi différents que représentatifs de la manière dont les narcotrafiquants de la capitale exploitent la précarité et l'innocence de leurs "petites mains".
Author: Tony Chalot
Published at: 2025-12-09 15:24:45
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