Jane Goodall ou la fin de l’homme comme unique animal moral

Jane Goodall ou la fin de l’homme comme unique animal moral


Les bêtes n'étaient que des mécaniques, de pauvres marionnettes de leurs tripes ou de leurs gènes, condamnées à l'instinct, comme la rotule s'actionne en bras de levier pour le muscle quadriceps fémoral quand on tape dessus – si toutes nos connexions nerveuses sont bien en place. La newsletter débats et opinions Tous les vendredis à 7h30 Recevez notre sélection d’articles tirée de notre rubrique Débats, pour comprendre les vrais enjeux du monde d’aujourd’hui et de notre société Votre adresse email Votre adresse email n'est pas valide Veuillez renseigner votre adresse email Merci ! Que le nihilisme positif – il n'y a pas d'outre-monde et notre monde n'est qu'une poussière dans le vaste cosmos qui prendra fin aussi sûrement et aléatoirement qu'il a vu le jour – est riche d'une « puissance spirituelle » capable de faire taire des pulsions de mort volontaire.

Author: Peggy Sastre


Published at: 2025-10-07 15:20:00

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