 
                    Il explique également avoir agi sous l'emprise de l'alcool, et ne pas avoir "eu le temps de prendre conscience que [le Mémorial de la Shoah] n'était pas un bâtiment comme un autre". Là encore, au moment de justifier sa participation financière à l'opération, Nikolay I. assure avoir voulu aider son ami de longue date Mircho A., "trop riche", mais qui "ne se sert pas de la carte bancaire" par crainte de "vol de données". S'appuyant sur des informations recueillies par le renseignement français, dans le cadre d'une coopération internationale, le parquet fait un tout autre portrait de Nikolay I., qu'il présente comme "recruteur de proxies" (des personnes chargées d'effectuer des actes par procuration) pour d'autres opérations de déstabilisation du même type.
Author: Linh-Lan Dao
Published at: 2025-10-30 15:01:39
Still want to read the full version? Full article