La Russie de Vladimir Poutine dispose donc de moins de 48 heures pour répondre favorablement ou non à cette proposition de cessez-le-feu, pensée comme un préambule à des négociations pour conclure une "paix durable". Comme l'a expliqué Emmanuel Macron durant la conférence de presse conjointe auprès de Volodymyr Zelensky et des autres dirigeants européens présents à Kiev, "tout ce qui viendra troubler le jeu en mettant des conditions (à la trêve) sera en quelque sorte une manoeuvre dilatoire pour ne pas vouloir la paix". En revanche, si la Russie venait à refuser le cessez-le-feu ou qu'elle l'acceptait pour ensuite le violer, Européens et Américains se sont mis d'accord pour infliger à la Russie des sanctions "massives" et "coordonnées", a mis en garde le président français.
Published at: 2025-05-10 15:30:57
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