La Suisse, la Turquie, la Hongrie, l’Autriche, voire le Vatican, qui se positionnait en juillet « d’accueillir des représentants de la Russie et de l’Ukraine pour des négociations », ont tous été évoqués comme options potentielles. Dans les faits, cela fait juste le jeu de Donald Trump, qui veut absolument une rencontre et la fin de la guerre », estime l’experte. » En jouant le jeu de cette bromance, le président russe a ainsi pu avancer ses pions sur des sujets tels que les investissements en Arctique, que la Russie et les Etats-Unis lorgnent avec appétit, ou encore l’allègement des sanctions qui pèsent sur son pays.
Author: Quentin Ballue
Published at: 2025-09-03 15:25:14
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