Pour se nourrir, explique Mohammed, deux solutions : l’aide alimentaire des associations ou le marché noir alimenté « par les paysans qui ont toujours leurs terrains qui n’ont pas été bombardés et les gens qui se rendent aux points de distribution alimentaire et revendent beaucoup de ces produits entre 7 et 10 fois le prix ». « Je préfère mourir de faim plutôt que de me faire tuer en échange de quelques boîtes de conserve ! Je peux me contenter d’un quart de bout de pain et de l’eau mélangé à du sel pour que mon estomac ne soit pas trop affecté.
Author: Eléonore Tournier
Published at: 2025-08-02 05:15:00
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