Être journaliste à Gaza : “On a eu des collègues tués, enlevés, mais sur le point de mourir de faim, jamais”

Être journaliste à Gaza : “On a eu des collègues tués, enlevés, mais sur le point de mourir de faim, jamais”


Il a également appelé à un « cessez-le-feu immédiat, à la libération de tous les otages du Hamas, qui doit être désormais désarmé, et à l’accès sans aucune entrave de l’aide humanitaire à Gaza ». Bashar, qui collabore avec l’AFP depuis 2010, nous a écrit sur Facebook le 19 juillet qu’il n’avait plus la force physique de se lever… La maison où il vit avec ce qu’il reste de sa famille est en ruine. Jean-Noël Barrot semble avoir pris la mesure de la situation et s’est engagé à faire sortir nos collaborateurs de Gaza dans les prochaines semaines… C’est peut-être optimiste quand on sait à quel point le territoire est verrouillé, mais nous avons envie de le prendre au mot.

Author: Marie-Joëlle Gros


Published at: 2025-07-22 13:20:11

Still want to read the full version? Full article