Il a dit que son objectif était de « prendre la température » de son interlocuteur, mais a aussi averti Moscou de « conséquences très sévères » si Vladimir Poutine n'acceptait pas de mettre fin à la guerre. Mis au ban de la communauté internationale après l'opération militaire en Ukraine, il a été accueilli chaleureusement par le dirigeant de la première puissance mondiale, qui l'a appelé « Vladimir » à plusieurs reprises et l'a invité à monter à bord du « Beast », la limousine présidentielle. Mais, signe du manque de résultats concrets à l'issue de la rencontre, il n'a parlé que trois petites minutes à la presse, évoquant le « canular » de l'ingérence russe dans l'élection présidentielle de 2016, l'une de ses marottes, avant de quitter les lieux.
Author: Alexis Buisson
Published at: 2025-08-16 08:44:00
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