Alors que celle-ci a traité 3.020 dossiers de disparitions et d'exploitation sexuelle de mineurs l'an dernier, contre 1.503 en 2021, un doublement en seulement trois ans, l'organisation nous explique comment l'on doit réagir en cas de disparition son enfant, même si "tout dépend des circonstances", selon la directrice générale de Child Focus, Nel Broothaerts. Deuxièmement, publier des photos, sans l'accord de Child Focus et des autorités, n'est pas bénéficiaire à l'enquête, puisque cela risque d'entraîner l'arrivée de nombreux témoignages qui devront être vérifiés sans savoir si cela tient la route. Ce qui peut être préjudiciable pour un jeune, alors que Child Focus "dispose d'un système qui nous permet de dépublier l'image, le message que l'on a mis sur le Web", évitant ainsi une stigmatisation de l'enfant par la suite.
Author: Thomas Longrie
Published at: 2025-06-23 16:36:00
Still want to read the full version? Full article
