Ces nominations lui garantiront une minorité de blocage au Parlement, limitant les marges de la nouvelle assemblée, sans toutefois la transformer en une simple chambre d'enregistrement des décisions du pouvoir, comme à l'époque du parti Baas. Selon Benjamin Fève, spécialiste de la Syrie, "ce scrutin marque avant tout une étape de la normalisation politique et de la restructuration institutionnelle, plus qu'un moment d'émancipation populaire". Les prochaines étapes prévoient, après une courte période de recours, la publication de la liste des députés nommés par le président, attendue d'ici la fin du mois.
Author: Muriel Rozelier
Published at: 2025-10-06 18:19:53
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