En juin, le nouveau ministre de l’Intérieur syrien, Anas Khattab, a déclaré à la télévision publique qu’“il n’y avait désormais plus d’usine produisant du captagon” [médicament à base de fentanyl, dont l’usage est détourné comme drogue]. Cela permettait d’alimenter ses réseaux de corruption et de financer des milices pro-iraniennes telles que le Hezbollah libanais, tenues pour responsables de la contrebande à travers le Moyen-Orient. “Il continue d’y avoir en Syrie de petits groupes qui se déplacent d’un endroit à l’autre pour monter des ateliers mobiles”, notamment dans le sud du pays, qui échappe partiellement au pouvoir central, estime à ce propos Nicholas Krohley, [fondateur et dirigeant de l’agence de consultants FrontLine Advisory] en Suisse.
Author: Ahmed Ashour
Published at: 2025-10-19 16:09:08
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