Selon T&E, la proposition de la Commission européenne pourrait faire baisser de 25 % les ventes de voitures électriques en 2035, à cause des mécanismes de crédits pour l’acier verts et des carburants alternatifs. Mais la réalité, c’est que le réseau actuel électrique français peut tout à fait absorber le nombre grandissant de voitures électriques, comme le précisait récemment RTE, sans avoir besoin d’importer autant de matières premières que dans le cas du pétrole. Pendant que Bruxelles et Berlin s’écharpent sur le pourcentage de biocarburants autorisés, la Chine, elle, avance à une vitesse sidérante, notamment grâce à un soutien financier de la part de l’Etat.
Author: Vincent Sergère
Published at: 2025-12-17 13:32:31
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