Selon une estimation des Nations unies, plus de trois millions de personnes ont été affectées d’une façon ou d’une autre par la catastrophe, qui est venue s’ajouter aux ravages de quatre ans de guerre civile. Plus d’une semaine après le séisme, un grand nombre de Birmans sont forcés de dormir dehors, soit parce qu’ils n’ont plus de logement, soit de crainte que celui-ci ne s’effondre. Le principal responsable de l’aide de l’ONU, Tom Fletcher, a rencontré samedi des victimes à Mandalay, dans le centre du pays, une ville située près de l’épicentre du séisme.
Author: Le Monde avec AFP
Published at: 2025-04-05 07:25:12
Still want to read the full version? Full article