Etant plus dépendant du commerce américain que l’inverse, il n’a pas suivi la décision prise le mois dernier par Donald Trump de doubler les droits de douane sur l’acier pour les porter à 50 %, et a fini par abandonner la taxe sur les services numériques sous la pression des Etats-Unis. Et même si le président américain assure que la "big money" commencera à couler à flot à partir de l’instauration généralisée de droits de douane le 1er août prochain, de nombreux économistes mettent en garde sur les ordres de grandeur. Cités dans le Wall Street Journal, plusieurs d’entre eux rappellent que les recettes générées par les droits de douane ne sont pas du tout de nature à ramener le budget fédéral à l’équilibre, et encore moins à effacer la dette américaine, alors que le déficit public ne cesse de se creuser.
Author: L’Express
Published at: 2025-07-16 18:37:52
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