Le département d'État a annoncé à l'occasion de cette visite historique une nouvelle pause des sanctions américaines de la loi César, en attendant que le Congrès ne les lève éventuellement pour de bon. Pendant la visite du président intérimaire syrien, dont la coalition islamiste a renversé le dirigeant de longue date Bachar al-Assad en décembre 2024, Damas devait signer un accord pour rejoindre la coalition internationale antijihadiste menée par les États-Unis, selon l'émissaire américain pour la Syrie, Tom Barrack. Les présidents américain et syrien devaient également évoquer les négociations entamées par les autorités syriennes avec Israël pour un accord de sécurité en vertu duquel l'État hébreu se retirerait des zones du sud du pays occupées après la chute de Bachar al-Assad.
Author: L.V.
Published at: 2025-11-10 22:06:15
Still want to read the full version? Full article