Le 13 novembre 2015, les fusillades dans la salle de concert, aux terrasses du 11e arrondissement parisien et au Stade de France ont fait 130 morts et des centaines de blessés. Depuis dix ans, il est rongé par la culpabilité et la colère : "Jamais je n'aurais pensé que Samy ferait un truc pareil", affirme-t-il, plein de "compassion pour les gens qui étaient là pour chanter, pour danser, qui n'avaient rien à voir avec la guerre [en Syrie]". Mais pour lui, l'essentiel n'est pas là : "Le simple fait de renoncer à se venger, de considérer que ce n'est pas ça l'important – ce qui est important, c'est justement d'éviter que cela ne se reproduise – ça, c'était déjà une forme de pardon, et elle me suffit."
Author: France 2
Published at: 2025-10-30 14:17:54
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