Un homme qui n’aimait pas la lumière tant il souhaitait, toujours, mettre en perspective ceux qui, durant la Seconde Guerre mondiale, comme depuis 1945, avaient chevillée au corps et au cœur la lutte contre tous les fascismes et qui redoutait leurs résurgences ici et là sur la planète, et d’abord en France. Il rejoint le maquis en juillet 1943 C’est dans sa maison de Saint-Ismier qu’il s’est éteint à 103 ans, là où il s’était confié au Dauphiné Libéré il y a quelques années alors qu’il venait d’écrire son premier livre, à 90 ans passés (Avoir 20 ans au maquis du Vercors, éditions Anovi). » Le maquis, il l’avait pris dès juillet 1943, à 21 ans, pour échapper au STO mais surtout, comme il aimait à le répéter, pour s’engager.
Author: J.-B.V.
Published at: 2025-11-24 14:53:00
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