D’après les plaignantes, les deux hommes seraient “directement impliqués” dans des actes de torture, des déplacements forcés de civils et des attaques aveugles contre des hôpitaux et des habitations. L’un des deux, issu de la brigade Givati, a partagé sur Instagram, à son arrivée au camping du festival, une photo de tentes qui lui donnaient l’impression d’être “à nouveau à l’armée”. Sur les réseaux sociaux, relève De Morgen, “des festivaliers ont rapporté que le drapeau de [la brigade Givati], active dans la bande de Gaza, avait été
Published at: 2025-07-22 13:02:33
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