"Mais une source fiable et proche me dit que l'initiative de la scission était vue juridiquement, dans le contrat de Madame Kadri, comme si on mettait un terme à celui-ci, que c'était vu comme une forme de rétrogradation (bien qu'elle soit à la tête du groupe le plus valorisé lors de la scission, NdlR), une fin de contrat prématurée", étant donné que cette dernière passait de CEO de l'ensemble de Solvay à CEO d'une partie, Syensqo, issue de la scission. Syensqo répond à ce propos que la prime est "une prime de reconnaissance pour la performance exceptionnelle de Solvay entre 2019 et 2023 et le parcours de transformation mené durant cette période". "Il n'y a pas de révolution de palais, c'est une décision personnelle, elle a fait le tour de la question", avance quant à lui un actionnaire familial de Solvay.
Author: Antonin Marsac
Published at: 2025-09-17 09:37:52
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