Lorsque la partie « coince », par l’effet de cette inégalité, intervient alors une nouvelle vague de « création monétaire » type Quantitative Easing, sous une forme ou sous une autre, sous un prétexte « vital » ou sous un autre, pour relancer la partie jusqu’à la prochaine « crise », en réalité à la fois tout aussi arbitraire et prévisible que la précédente. L’évidence que met sous nos yeux le schéma symbolique de la balance, c’est la part de la valeur d’amortissement du capital fixe qui est assumée par la dette sur le plateau le plus "lourd" de la balance, d’un côté, et qui permet donc, de l’autre côté, sur le plateau de la finance, les « superprofits » autrement impossibles. Un article un peu plus ancien, mais où Richard Werner, lui-même à l’origine du concept de "Quantitative Easing", décrit on ne peut mieux, à partir de son expérience personnelle d’économiste au Japon, l’évolution économique banco-centraliste de ce premier quart du XXIesiècle, jusqu’à la naissance actuelle des Monnaies Numériques de Banque Centrale et au danger fatidique pour les libertés, économiques, et les libertés tout court, qu’elles représentent :
Author: Luniterre
Published at: 2025-05-24 16:34:56
Still want to read the full version? Full article