À ce titre, deux grands exemples sont donnés : le piratage retentissant de TV5 Monde en 2015, avec une attaque maquillée comme étant soi-disant une opération du cybercaliphate (la France était alors très engagée contre l’État islamique) et l’affaire des MacronLeaks en 2017, pour tenter de nuire à la candidature d’Emmanuel Macron à la présidentielle. Le ministère des Affaires étrangères mentionne une dizaine d’entités, dont des ministères, des collectivités territoriales, des think tanks, des entreprises de l’aérospatial, de la défense, de l’énergie ou de la finance. Ce centre C4 réunit également les services secrets français, dont la DGSE et la DGSI, mais aussi le commandement militaire de la cyberdéfense ainsi que la direction générale de l’Armement — ce dernier ayant mobilisé son centre d’expertise et d’essais « Maîtrise de l’information », a fait savoir le délégué général de la DGA.
Author: Julien Lausson
Published at: 2025-04-30 15:00:26
Still want to read the full version? Full article