L’affaire, survenue au début de la guerre en Ukraine, illustre la vulnérabilité des infrastructures énergétiques face aux offensives numériques et relance le débat sur les frontières entre militantisme en ligne et espionnage. Les enquêteurs soulignent que le site de divulgation de données a contribué à amplifier le préjudice et à exposer des informations sensibles sur le fonctionnement interne de l’entreprise. Cette affaire pose une question plus large : comment différencier une action militante de type « opération coup de poing » d’un sabotage relevant de l’espionnage et du terrorisme numérique ?
Author: Damien Bancal
Published at: 2025-09-07 16:39:31
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