« C’est l’une des COP les plus importantes, car 10 ans après l’accord de Paris, il est évident que les actions et engagements des pays sont loin de suffire pour limiter le réchauffement à 1,5°C », analyse pour l’AFP Bill Hare, directeur du centre de réflexion Climate Analytics. Mais les États-Unis, premier producteur mondial de pétrole et 2e émetteur de gaz à effet de serre, sont absents pour la première fois de l’histoire de ces réunions, et le front des pays producteurs de pétrole a repris du poil de la bête depuis l’appel de Dubaï à sortir progressivement des énergies fossiles il y a deux ans. L’un des mystères de ces deux semaines de négociation concerne la « feuille de route » sur les énergies fossiles mise sur la table par Lula lors du sommet de chefs d’État, la semaine dernière à Belem.
Author: Maëlle Roudaut avec AFP
Published at: 2025-11-10 19:42:24
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