Enfin, ce n'est pas dans l'intérêt de Téhéran car cela va juste provoquer l'ire de la Chine et de l'Inde, ses deux principaux clients, qui sont dépendants de cette voie de passage pour les hydrocarbures", écrit-il. Des menaces qui ont poussé certains économistes à revoir leurs prévisions de cours du baril de pétrole à la hausse, vers 100 dollars, et même au-delà. Si les raffineries sont endommagées, cela va surtout provoquer des files d'attente monstres dans les stations-service en Iran et fragiliser davantage l'économie du pays", poursuit Christopher Dembik.
Author: Ariane van Caloen
Published at: 2025-06-15 14:35:24
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