Le caractère à la fois collectif et individuel, national et international, du sport est un vecteur à la fois utile en termes d’image et très lucratif en termes économiques, explique dans une tribune pour « Marianne », Claude Revel, spécialiste d’intelligence stratégique et d’influence Or aujourd’hui, si le hard power paraît de plus en plus présent dans le monde, force est de constater que le sport est néanmoins toujours et de plus en plus utilisé en tant que soft power. Pensons aux États du Golfe qui développent – et le font bien savoir – des politiques en ce sens, en interne, avec la volonté affichée de développement social et sociétal mais aussi vis-à-vis de l’extérieur, avec l’hébergement de grands événements sportifs internationaux (GESI) comme la Coupe du monde de football au Qatar ou bientôt les Jeux asiatiques d’hiver en Arabie saoudite.
Author: Claude Revel
Published at: 2025-05-07 14:30:00
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