Cinq raisons de jouer à « Doom : The Dark Ages »

Cinq raisons de jouer à « Doom : The Dark Ages »


Comprenez que, depuis le début, le principe de ce mythique jeu de massacre à la première personne est d'avancer dans des décors toujours aussi somptueux, sanguinolents et post-apocalyptiques, flingue en pogne, comme dirait Audiard, avec pour seul objectif de pulvériser une galerie de monstres venus des enfers, toujours plus redoutables. Dans l'inconscient collectif des gamers, Doom est avant tout une saga où l'on « défouraille des démons par paquets de cent » et, de ce côté, pas de gros changements : on est propulsé dans des environnements où pullulent des hordes de créatures cauchemardesques, qu'il convient de détruire en tirant dans le tas. Durant ses 15-20 heures de jeu (un peu plus pour tout explorer), ce prequel savamment orchestré propose de nouveaux environnements plus libres et de nouveaux contenus (armes, ennemis, compétences, etc.), tout en gardant les acquis de la licence iconique : un gameplay nerveux, axé sur le massacre en masse d'armées de démons plus immondes et imposants les uns que les autres… et c'est ça qu'on aime dans Doom !

Author: Marilys Vallet


Published at: 2025-05-13 16:30:00

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