Au moment de rendre les armes, il espère encore que les Russes respectent la Convention de Genève relative aux prisonniers de guerre. Trimballé de geôle en geôle, le trajet se fait toujours dans les mêmes conditions : les yeux bandés avec du ruban adhésif, "tellement serré" qu'il lui laisse d'horribles migraines, les mains attachées dans le dos et stocké à l'arrière d'un camion "comme du bétail". "Ils vous frappent à coups de bâton, de crosse de fusil, de matraque, et ils vous crient de marcher, courbé, mais vous ne savez pas où aller.
Author: Marie Rigot
Published at: 2025-07-02 12:03:55
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