ReportageDans un 16ᵉ arrondissement de Paris très haussmannien, cette voie fait figure d’atypique laboratoire d’architecture, où se croisent touristes amateurs de modernisme, élèves studieux et employés de maison. Mais sur cette rive droite de la Seine, dans l’ouest de la capitale, une artère atypique s’est dessiné un destin singulier, à quelques minutes à pied des stations Jasmin et Ranelagh, sur la ligne 9 du métro. Le 6 août 1918, durant la première guerre mondiale, un des derniers obus lancés par les canons allemands comme la Grosse Bertha explose au numéro 46 de la rue.
Author: Anne-Lise Carlo
Published at: 2025-05-11 11:00:06
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