Ils s'alignent ainsi sur la dizaine de pays qui doivent confirmer, lundi 22 septembre, leur reconnaissance formelle de l'État palestinien lors d'un sommet entre la France et l'Arabie saoudite, à la veille d'une Assemblée générale de l'ONU. Cette position est aussi une rupture nette avec celle des États-Unis, allié inébranlable d'Israël, qui refuse de prendre part et soutenir le mouvement de reconnaissance de l'État de Palestine. Pour éviter une reconnaissance de l'État de Palestine, Keir Starmer avait posé trois conditions à Israël : conclure un cessez-le-feu avec le Hamas, s'engager pour une solution à deux États et renoncer à l'annexion de la Cisjordanie occupée.
Author: Lise Lacombe
Published at: 2025-09-21 17:39:00
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