Le Premier ministre, Bart De Wever, s’est défendu mercredi de toute volonté de mettre en péril l’Etat de droit avec la lettre qu’il a signée en compagnie d’autres dirigeants européens à propos de l’interprétation de la Convention européenne des droits de l’homme. Rédigé en 1950, ce texte et surtout la façon dont il est interprété aujourd’hui n’est plus adapté à la réalité d’aujourd’hui, où des pays européens n’arrivent plus à renvoyer des criminels en séjour illégal, a-t-il plaidé à la Chambre. Or, c’est un des articles-clés de ce texte du Conseil de l’Europe : il énonce que "nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants".
Author: rtbf.info@rtbf.be (Maïté Warland)
Published at: 2025-05-28 19:00:11
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