Les dernières révélations de l'enquête sur le réseau à l'origine des attaques contre les prisons et leurs personnels lèvent le voile sur plusieurs mois de mystère. Interpellée, elle reconnaît très vite les faits, déclarant : "C'est mon fournisseur de drogue, qui, pour effacer ma dette de 900 euros, m'a fourni un chauffeur pour aller à Tarascon, des gants et un jerrican d'essence". Selon les informations de France Télévisions, en garde à vue, ils affirment avoir agi pour empêcher la création de prisons pour narcotrafiquants par l'État.
Published at: 2025-06-17 20:04:30
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