Il est environ midi, ce lundi 31 mars. Après une heure trente à écouter la présidente du tribunal correctionnel de Paris, Bénédicte de Perthuis, exposer ses motifs, voici la députée du Pas-de-Calais se lever d’un coup, d’un seul, laissant sa place vide, au premier rang des prévenus dans le procès des assistants fictifs du RN. Marine Le Pen fonce vers la sortie, regard vers ses pompes, pas une déclaration à l’énorme masse de journalistes grenouillant devant la salle d’audience, direction la maison : le siège du RN.
Author: Tristan Berteloot
Published at: 2025-03-31 10:58:51
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