La maire LR de la ville, Sandrine Dos Santos, a fait part de sa « plus vive indignation » et de sa « profonde solidarité à l’égard de la jeune Pisciacaise victime d’une agression islamophobe ». Mais aussi à une responsabilité du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui n’hésitait pas à scander « À bas le voile » le 26 mars à la tribune d’un meeting organisé par la droite et l’extrême au Dôme de Paris. La députée écologiste Sabrina Sebaihi, qui a lourdement accusé le ministre de l’Intérieur de « souffler sur les braises de la haine » lors des questions au gouvernement du 29 avril, se demande maintenant si « l’arrachage de voile est une violence banale dans la France de Retailleau ».
Author: Marceau Taburet
Published at: 2025-04-30 14:48:53
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