Goli contemple sa fille Ghazaleh qui souffre d'une sclérose en plaques et s'interroge : « Et si eux, les sionistes, nous libéraient de cet enfer ? » L'arbre qui assombrit leur joli trois-pièces au 3e étage d'un petit immeuble de Téhéran, semble au diapason de son humeur mélancolique. Dans la nuit du jeudi12 au vendredi 13 juin, il a fait irruption avec fracas, dans cette atmosphère ouatée où elle et sa famille se sont réfugiées depuis 1979, date de la révolution islamique.
Author: La Tribune
Published at: 2025-06-14 18:45:00
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