La réunion "n’a pas bénéficié du traitement de faveur habituellement réservé aux dirigeants étrangers", note le New York Times : pas de poignée de main sur le perron de la Maison-Blanche, ni de conférence de presse devant les journalistes. Vendredi, le département d’Etat a également déclaré le retrait du nom d’al-Charaa et de son ministre de l’Intérieur, Anas Khattab, de la liste internationale des personnes considérées comme terroristes, "en reconnaissance des progrès accomplis par les dirigeants syriens après le départ de Bachar al-Assad". Mais le règne d’Ahmed al-Charaa à la tête de la Syrie est loin d’être tout rose, marqué par des massacres de membres de la minorité alaouite par des factions armées soutenant son gouvernement ; ainsi que par des violences entre de combattants bédouins sur des Druzes.
Author: L’Express
Published at: 2025-11-11 12:50:37
Still want to read the full version? Full article