"À l'heure des prédateurs, nul ne peut demeurer immobile" : un champ lexical particulièrement guerrier lors du discours aux armées du président

"À l'heure des prédateurs, nul ne peut demeurer immobile" : un champ lexical particulièrement guerrier lors du discours aux armées du président


Dans son "discours aux armées", dimanche 13 juillet, Emmanuel Macron a endossé son costume de chef de guerre pour expliquer comment il comptait financer ce qu'il appelle "l'effort de guerre", en proposant notamment un doublement du budget de la défense en 10 ans, en le faisant passer de 32 milliards d'euros, en 2017, à "64 milliards d'euros en 2027". Cette attitude permet au président de tenter d'exister à nouveau sur la scène politique nationale en tant que chef de guerre et de se positionner à l'international comme le chef de l'Europe. Dès dimanche soir, LFI, par la voix d'Éric Coquerel, le président de la commission des finances, fustigeait le discours "extrêmement belliciste" du président et "une course à l'armement au détriment de la lutte contre le réchauffement climatique".


Published at: 2025-07-14 10:53:22

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